Parcelle n°237 (Baron)
Aujourd'hui homologuée HVE* de niveau 4, nos vins ne comptent aucun résidu. Ils sont sulfités au plus près, selon les résultats d'analyses fournis par le laboratoire oenologique de Grézillac.
''Mieux que Bio!" affirme notre partenaire historique Baron Philippe de Rotschild SA.
Certes plus coûteux, les produits utilisés sont pour la plupart biocontrôles. Aucun CMR.
Parcelles A243 (Baron)
Un sol riche de vie, équilibré, est essentiel à la vigne.
Nos amendements sont essentiellement organiques, adaptés aux besoins identifiés.
Parcelle AO 157 (Croignon)
Les sols argilos-calcaires pour l'essentiel, (graves sur les parcelles A0 155 à AO 159 et AB 439) sont travaillés pour éviter l'érosion des pluies et permettre au réseau racinaire de résister aux variations climatiques.
Plusieurs décénies de partenariat avec la maison Baron Philippe de Rotschild (BPHR SA), à qui nous cédons une partie de nos raisins, nous motivent à élaborer un programme phytosanitaire respectueux de la nature et de nos vins.
La majorité des produits sont biocontrôles : aucun CMR ni aucun résidu dans nos jus.
Les produits employés sont respectueux des insectes mellifères.
Travail des sols (un rang/deux, alterné tous les 3-4 ans).
Amendement organique sur analyse parcellaire.
Couvert végétal (avoine et légumineuses) favorisant l'aération des sols et produisant un amendement naturel.
Les traitements sont conditionnés à la météorologie. Nous les déclenchons après consultation de deux organismes indépendants ainsi que notification des experts de la cave de Rauzan où nous sommes apporteurs.
Nous disposons de notre station de lavage, aux normes en vigueur pour stocker et traiter les effluents viti et vinicoles.
Nous cherchons à réduire la consommation d'eau, notamment en recyclant les eaux pluviales.
Nous payons la taxe pollueur et recyclons les emballages.
Respect des haies et zones de jachères en périphérie.
Tontes espacées pour préserver les insectes.
Prochain objectif : cesser l'utilisation de désherbants chimiques.
Epamprage manuel ou mécanique.
Nous ne sommes plus chasseurs...
Pour autant, je ne renie pas ces matinées d'ouverture de la chasse, présage d'une sortie sur "notre domaine" à suivre l'excitation du vieil épagneul de mon père à courir après un hypothétique gibier.
Aujourd'hui, il nous faut pallier aux dégâts grandissants des chevreuils et sangliers. (clôture illusoires, répulsifs, en dernier recours lieutenant de louveterie).
Nous consommons avec plaisir les baraganes (poireaux sauvages, photo ci-contre), savourons les confitures de mûres (Merci Hélène!) et attendons avec impatience les anémones et les tulipes sauvages qui fleurissent sur nos terres.
Espacer les tontes pour sédentariser les insectes mellifères dans le rang non travaillé fait partie de notre engagement pour la biodiversité.
Un couvert végétal semé à l'automne a plusieurs avantages: les légumineuses fixent l'azote dans le sol et l'enfouissement des fanes apporte un complément organique. Le couvert végétal réduit l'évaporation tout en asphyxiant les '' mauvaises'' herbes.
Le travail des sols limitent leur lessivage par ravinement et permet aux pluies de pénétrer profondément.
Espèce invasive, l'érigéron du Canada prolifère. En 2023 particulièrement, nous avons dû les faucher manuellement avant la récolte; un travail fastidieux mais indispensable pour préserver la qualité de nos vins.
Labour de la parcelle AO239 avant plantation (Merlot).
Semis de fèveroles et d'avoines pour le couvert végétal.
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